Jour 2 Mercredi :
Journée hommage à Jean FERRAT, point d’orgue du voyage En partant, nous passons
devant l’entrée de l’Aven d’Orgnac,
découvert par Robert de JOLY en 1935, qui a pu organiser l’ouverture au public dès 1939.
Le site est grandiose, mais nous n’en faisons pas la visite, nous reviendrons,
d’autant plus qu’un événement d’importance se prépare pour 2015, l’ouverture de la
« Restitution » de la Grotte Chauvet.
Arrivée à La Ferme Théâtre de LABLACHERE où nous assistons au spectacle « Jean d’ici, Ferrat le cri »
Ce spectacle d’une heure quarante est riche en émotions.L’acteur, Jean-Marc MOUTTET, saisissant
de vérité, relate la vie du chanteur (né TENNENBAUM) à partir d’une émission télé et des chansons
bien choisies, que notre groupe a reprises avec plaisir,
comme « Je ne suis qu’un cri »,
« La Porte à droite », « le Bilan »,
« Nuit et Brouillard », « Potemkine »
« Camarade », « La Commune »,
« Ma France », « Un air de liberté », « Complainte de Pablo Neruda »,
« Oural, Ouralou »,
et évidemment « La Montagne ».
Jean FERRAT qui a assisté au spectacle en août 2014 a écrit :
« Mémorable récital, où j’ai pu voir passer ma vie en chansons de la plus belle façon et avec beaucoup d’émotion »
Nous sommes tous sortis très émus, certain(e)s la larme à l’œil, c’est tout un pan de notre vie,
Jean FERRAT, homme courageux, chanteur engagé, et souvent vilipendé d’ailleurs…
Déjeuner au Grand Hôtel de VALS-LES-BAINS, superbe ! Petite visite de la station thermale,
très prisée au XIXe siècle.
Puis départ pour
ANTRAÏGUES SUR VOLANE que Jean FERRAT a connu par un ami, Jean SAUSSAC,
peintre, sculpteur puis maire de ce village jusqu’à son décès, un an après celui de Jean FERRAT.
Ce dernier est tombé amoureux de ce village. Un ancien café est transformé en petit musée.
On se promène toujours dans les « calades » pentues, puis on va au cimetière où Jean FERRAT repose.
Le soir, après le repas, une vidéo sur une interview de Jean FERRAT par Denise GLÄSER,
complète cette journée magnifique.
Encore des chansons à travers lesquelles nous mettons un visage sur
« Sacré Félicien »